Les paroles
[Verse 1]
Elle est arrivée un jour de septembre,
Une boule de poil, deux yeux pleins d’ambre.
À peine deux mois, déjà l’énergie d’un ouragan,
Depuis ce jour, nos journées ne sont plus comme avant.
Elle est vive, rusée, déborde d’affection,
Mais entre seize et dix-huit, c’est l’explosion !
Quand nous on traîne, elle veut courir, sauter,
Un jouet dans la gueule, prête à tout retourner.
[Chorus]
Fannie, Fannie, petite tornade de bonheur,
Tu veux jouer même quand on tombe de sueur.
Tu creuses des trous comme une vraie machine,
C’est pas un caniche, c’est une caniche pépine !
Fannie, Fannie, t’es notre petite étoile,
Même quand tu fous l’bazar, on t’en veut pas, pas une once de mal.
[Verse 2]
Sur l’heure du midi, tout contre son papa,
Elle s’endort paisible, un p’tit ronflement tout bas.
Mais gare à l’escalier, si la barrière est ouverte,
Fannie descend fissa, excitée comme une fête.
Olive, la doyenne, 21 ans et sourde,
Ne voit rien venir… et trouve Fannie lourde.
La minette vit en bas, loin de cette tornade,
Mais Fannie y va… flairant sa pâtée en embuscade.
[Chorus]
Fannie, Fannie, petite tornade de bonheur,
Tu veux jouer même quand on tombe de sueur.
Tu creuses des trous comme une vraie machine,
C’est pas un caniche, c’est une caniche pépine !
Fannie, Fannie, t’es notre petite étoile,
Même quand tu fous l’bazar, on t’en veut pas, pas une once de mal.
[Outro – parlé, avec tendresse]
Elle vole des croquettes, elle court sans raison…
Mais le soir venu, on lui donne le pardon.
Car Fannie, c’est l’amour, en version remue-ménage,
Une tornade poilue, notre douce sauvage.
Yannick
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